De 2010 à 2015, la Fondation Fritz Gerber a apporté son soutien à Max Heinzer , escrimeur de haut niveau. Depuis 2014, il collabore avec notre fondation en tant que responsable du secteur Sport, poste qu’il occupe à temps partiel. En 2017, il a développé une idée qui a convaincu le Conseil de la fondation: former une équipe de dix jeunes sportifs particulièrement talentueux qui recevraient une aide spéciale et pourraient participer à un échange. Chaque membre de l’équipe bénéficie au moins d’un soutien annuel de 20 000 francs pendant trois ans, pour lui permettre de se concentrer pleinement sur les entraînements et les compétitions. Un groupe WhatsApp favorise des échanges enrichissants au sein de l’équipe permettant aux participants et participantes d’en apprendre davantage sur d’autres disciplines sportives et modes de vie. Bien entendu, Max Heinzer, multiple médaillé lors d’événements majeurs et détenteur du plus grand nombre de victoires en Coupe du monde d’escrime, ne manque pas d’y apporter sa grande expérience personnelle. Une fois par an, l’«équipe Heinzer» se joint à notre bureau à l’occasion d’un événement commun.
Le palmarès obtenu par les sportifs de l’«équipe Heinzer» au cours de ces trois dernières années montre que ce type d’aide va dans la bonne direction.
Elle a pris la troisième place aux Championnats du monde de ski de fond en 2025. Elle se donne à 100 % sur tous les fronts, conciliant ski de fond et triathlon.
Vers le site web →Meilleur coureur de haies suisse, il détient les records nationaux aussi bien en salle qu’en extérieur.
Vers le site web →Actuellement le meilleur skieur du circuit, il domine la Coupe du monde remportant quatre gros globes de cristal consécutifs entre 2021 et 2025. Il est également champion olympique, triple champion du monde et compte 45 victoires en Coupe du monde.
Vers le site web →Sacré roi de la lutte à la Fête fédérale de lutte et des jeux alpestres 2022, le lutteur offensif de Sörenberg est l’un des plus titrés et a soif de nouvelles victoires au festival de couronnes.
Vers le site web →